Prendre de la hauteur pour y voir plus clair

Prendre de la hauteur pour y voir plus clair

C’est ici que commence la pensée stratégique.

C’est ici que commence la pensée stratégique.

C’est ici que commence la pensée stratégique.

Luciano Alibrandi

Luciano Alibrandi

prendre-hauteur
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prendre-hauteur

« Je n’ai pas le temps. »

C’est la première chose que mes clients me disent. Ils sont débordés. Déjà en mouvement, des e-mails qui s’accumulent, des notifications qui fusent, des appels qui s’enchaînent, des urgences qui surgissent de nulle part. Ils ont déjà l’impression d’être en retard.

C’est à ce moment-là que j’appuie sur le bouton de l’ascenseur, le changement de perspective.

« Et si je vous disais que vous pouviez avoir tout le temps qu’il vous faut, en changeant juste une chose ? »

Certains rient. La plupart me regardent comme si j’étais un martien. Mais ça les intrigue et ils commencent à y réfléchir… C’est le moment d’avoir une vraie discussion. Parce que je comprends. Vous passez votre énergie à réagir. À résoudre. À gérer. Et à la fin de la journée, vous êtes épuisé… et étrangement insatisfait.

Vous étiez occupé. Mais étiez-vous efficace ? C’est le piège. On confond mouvement et progrès. Activité et stratégie. Gestion de crise et leadership. Et peu à peu, on oublie de penser.

 

Le temps ne s’étire pas. C’est vous qui devez prendre de la hauteur

La vérité c’est que le temps ne se « pliera » pas à votre volonté. Vous ne pouvez pas en créer plus. Mais vous pouvez changer d’altitude. Je le dis souvent : prenez l’ascenseur.

Entrez dans cet ascenseur métaphorique et montez. Dix étages. Vingt. Continuez jusqu’à voir l’ensemble du système. Votre équipe, vos objectifs, votre quotidien. Tout prend une autre dimension. De là-haut, vous voyez l’essentiel. Vous arrêtez de courir. Vous commencez à choisir. C’est ici que commence la pensée stratégique.


La pensée stratégique n’est pas réservée aux dirigeants

Pas besoin d’un titre prestigieux pour penser stratégiquement. La pensée stratégique est un état d’esprit que chacun peut adopter, quel que soit son rôle ou son niveau hiérarchique. Il s’agit de prendre du recul, de poser de meilleures questions, et d’aligner ses actions sur une vision plus large. Être proactif plutôt que réactif. Concevoir son travail, pas seulement l’exécuter.

Et cela ne nécessite pas une journée entière ni un tableur géant. Vous pouvez commencer petit, avec des outils simples :

  • La matrice d’Eisenhower
    Pour distinguer l’urgent de l’important. Un classique, mais toujours aussi efficace pour sortir du piège du « tout est prioritaire ».


  • La stratégie en une page
    Résumez votre vision, 3 priorités, et 5 initiatives clés sur une seule page. Si vous ne pouvez pas expliquer votre stratégie simplement, c’est peut-être que vous n’en avez pas vraiment.


  • Le time-blocking
    Prévoyez du temps pour penser. Le temps stratégique n’est pas du « temps en plus ». C’est votre meilleur investissement.


  • La revue hebdomadaire
    20 minutes chaque vendredi pour réfléchir : Qu’est-ce qui nous a fait avancer ? Qu’est-ce qui nous a épuisés ? Qu’est-ce qu’on doit ajuster ?

La pensée stratégique n’est pas un outil, c’est une posture. Mais les bons outils aident à créer l’habitude.


Hâte toi lentement

On a tendance à associer vitesse et progrès. Mais la précipitation mène souvent à des erreurs, du désalignement et de l’épuisement. Les leaders les plus efficaces que je connaisse agissent avec intention, pas dans l’urgence. Ils s’arrêtent. Ils réfléchissent. Et ensuite, ils passent à l’action.

Voici ce que j’ai appris. Si vous voulez aller plus vite, commencez par faire une pause. Bloquez 30 minutes. Seul. Sans onglets ouverts. Juste pour penser.

  • Où va votre énergie ?

  • Qu’est-ce qui fait du bruit mais ne crée pas de valeur ?

  • Qu’est-ce que vous évitez ?

  • Qu’est-ce qui compte vraiment cette semaine ? Ce trimestre ?

Ce ne sont pas des questions superflues. Ce sont des questions de leader. Les penseurs stratégiques n’ont pas toutes les réponses, mais ils prennent le temps de poser les bonnes questions. Il ne s’agit pas d’être plus intelligent. Il s’agit d’être plus intentionnel.


Mais j’ai une équipe ! Ils ont besoin de moi !

L’une des objections les plus courantes à la prise de temps stratégique est : « Mon équipe a besoin de moi. »Mais ce n’est pas une raison pour éviter la pensée stratégique. C’est la raison pour laquelle elle est indispensable.

Si vous êtes manager, votre équipe attend de vous une direction, pas seulement des validations. Elle a besoin de clarté. Et la clarté vient de la hauteur de vue.

Aidez-les à relier leur travail quotidien à des résultats concrets. Encouragez-les à réfléchir. Montrez l’exemple. Bloquez du temps stratégique et protégez-le comme un rendez-vous sacré. Souvenez-vous : être disponible 100 % du temps vous rend 0 % stratégique.


L’habitude qui change tout

La pensée stratégique, ce n’est pas une retraite annuelle. C’est une habitude. Un rythme. Vous n’avez pas besoin de 4 heures ni d’un système parfait. Commencez par 30 minutes par semaine. Cette petite pause ? C’est comme appuyer sur le bouton de l’ascenseur quand votre étage est bondé et bruyant.

Vous entrez.

Vous montez.

Le bruit s’atténue.

La vue s’élargit.

Tout à coup, ce qui paraissait urgent semble… secondaire.

Et ce qui compte vraiment devient limpide.

Depuis cette altitude, vous dirigez autrement.

Vous cessez de réagir.

Vous commencez à concevoir.

Alors, appuyez sur le bouton… et prenez de la hauteur. Car plus vous prenez de la hauteur, plus vos actions deviennent fluides.

« Je n’ai pas le temps. »

C’est la première chose que mes clients me disent. Ils sont débordés. Déjà en mouvement, des e-mails qui s’accumulent, des notifications qui fusent, des appels qui s’enchaînent, des urgences qui surgissent de nulle part. Ils ont déjà l’impression d’être en retard.

C’est à ce moment-là que j’appuie sur le bouton de l’ascenseur, le changement de perspective.

« Et si je vous disais que vous pouviez avoir tout le temps qu’il vous faut, en changeant juste une chose ? »

Certains rient. La plupart me regardent comme si j’étais un martien. Mais ça les intrigue et ils commencent à y réfléchir… C’est le moment d’avoir une vraie discussion. Parce que je comprends. Vous passez votre énergie à réagir. À résoudre. À gérer. Et à la fin de la journée, vous êtes épuisé… et étrangement insatisfait.

Vous étiez occupé. Mais étiez-vous efficace ? C’est le piège. On confond mouvement et progrès. Activité et stratégie. Gestion de crise et leadership. Et peu à peu, on oublie de penser.

 

Le temps ne s’étire pas. C’est vous qui devez prendre de la hauteur

La vérité c’est que le temps ne se « pliera » pas à votre volonté. Vous ne pouvez pas en créer plus. Mais vous pouvez changer d’altitude. Je le dis souvent : prenez l’ascenseur.

Entrez dans cet ascenseur métaphorique et montez. Dix étages. Vingt. Continuez jusqu’à voir l’ensemble du système. Votre équipe, vos objectifs, votre quotidien. Tout prend une autre dimension. De là-haut, vous voyez l’essentiel. Vous arrêtez de courir. Vous commencez à choisir. C’est ici que commence la pensée stratégique.


La pensée stratégique n’est pas réservée aux dirigeants

Pas besoin d’un titre prestigieux pour penser stratégiquement. La pensée stratégique est un état d’esprit que chacun peut adopter, quel que soit son rôle ou son niveau hiérarchique. Il s’agit de prendre du recul, de poser de meilleures questions, et d’aligner ses actions sur une vision plus large. Être proactif plutôt que réactif. Concevoir son travail, pas seulement l’exécuter.

Et cela ne nécessite pas une journée entière ni un tableur géant. Vous pouvez commencer petit, avec des outils simples :

  • La matrice d’Eisenhower
    Pour distinguer l’urgent de l’important. Un classique, mais toujours aussi efficace pour sortir du piège du « tout est prioritaire ».


  • La stratégie en une page
    Résumez votre vision, 3 priorités, et 5 initiatives clés sur une seule page. Si vous ne pouvez pas expliquer votre stratégie simplement, c’est peut-être que vous n’en avez pas vraiment.


  • Le time-blocking
    Prévoyez du temps pour penser. Le temps stratégique n’est pas du « temps en plus ». C’est votre meilleur investissement.


  • La revue hebdomadaire
    20 minutes chaque vendredi pour réfléchir : Qu’est-ce qui nous a fait avancer ? Qu’est-ce qui nous a épuisés ? Qu’est-ce qu’on doit ajuster ?

La pensée stratégique n’est pas un outil, c’est une posture. Mais les bons outils aident à créer l’habitude.


Hâte toi lentement

On a tendance à associer vitesse et progrès. Mais la précipitation mène souvent à des erreurs, du désalignement et de l’épuisement. Les leaders les plus efficaces que je connaisse agissent avec intention, pas dans l’urgence. Ils s’arrêtent. Ils réfléchissent. Et ensuite, ils passent à l’action.

Voici ce que j’ai appris. Si vous voulez aller plus vite, commencez par faire une pause. Bloquez 30 minutes. Seul. Sans onglets ouverts. Juste pour penser.

  • Où va votre énergie ?

  • Qu’est-ce qui fait du bruit mais ne crée pas de valeur ?

  • Qu’est-ce que vous évitez ?

  • Qu’est-ce qui compte vraiment cette semaine ? Ce trimestre ?

Ce ne sont pas des questions superflues. Ce sont des questions de leader. Les penseurs stratégiques n’ont pas toutes les réponses, mais ils prennent le temps de poser les bonnes questions. Il ne s’agit pas d’être plus intelligent. Il s’agit d’être plus intentionnel.


Mais j’ai une équipe ! Ils ont besoin de moi !

L’une des objections les plus courantes à la prise de temps stratégique est : « Mon équipe a besoin de moi. »Mais ce n’est pas une raison pour éviter la pensée stratégique. C’est la raison pour laquelle elle est indispensable.

Si vous êtes manager, votre équipe attend de vous une direction, pas seulement des validations. Elle a besoin de clarté. Et la clarté vient de la hauteur de vue.

Aidez-les à relier leur travail quotidien à des résultats concrets. Encouragez-les à réfléchir. Montrez l’exemple. Bloquez du temps stratégique et protégez-le comme un rendez-vous sacré. Souvenez-vous : être disponible 100 % du temps vous rend 0 % stratégique.


L’habitude qui change tout

La pensée stratégique, ce n’est pas une retraite annuelle. C’est une habitude. Un rythme. Vous n’avez pas besoin de 4 heures ni d’un système parfait. Commencez par 30 minutes par semaine. Cette petite pause ? C’est comme appuyer sur le bouton de l’ascenseur quand votre étage est bondé et bruyant.

Vous entrez.

Vous montez.

Le bruit s’atténue.

La vue s’élargit.

Tout à coup, ce qui paraissait urgent semble… secondaire.

Et ce qui compte vraiment devient limpide.

Depuis cette altitude, vous dirigez autrement.

Vous cessez de réagir.

Vous commencez à concevoir.

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